Ils n'ont certes pas affronté, sauf Marie-Thérèse bien sûr, les pentes abruptes des remontées d'Orcières Merlette.

Mais ils n'ont pas eu peur sur le chemin du retour de rentrer dans la cage au Lyon.

Mieux que le téléphérique, le funiculaire surnommé la Ficelle les a menés sur les hauteurs de Fourvière.

Altius! Fortius! Citius! Plus haut! Plus fort!Plus vite!

Une ascension et une descente bien ficelée...

Alors toutes mes félicitations ou, comme on disait à l'école "toutes mes ficelles de caleçon"

De Fourvières au quartier Saint-Jean en passant par les traboules, Lyon leur a fait un effet boeuf

Tout le monde a su lever la tête pour se rassasier de la visite à qui meuh-meuh

Même pas besoin de faire les guignols avant de Gnafronter l'épreuve du funiculaire

Lors de la visite du Vieux Lyon, grâce à nos guides, personne n'a perdu n'y la boule ni la traboule

Il ne restait plus qu'à allumer une bougie, histoire de continuer à voir 36 chandelles

Merci à Christian et Marie-Thérèse pour la visite guidée et pour l'accueil à Les Chères

C'en est fini pour la soirée diapos du ski 2019.

C'en est fini des piste enneigés.

Y'a plus rien à voir...

Alors, circulez!

Vous pouvez retrouver votre blogueur chéri sur

www.highlandgames.canalblog.com

www.ecrituriales.canalblog.com

A l'année prochaine

Alain, skieur-blogtrotteur

On dirait que les spécialités locales de ravioles et de tourtous n'ont pas suffi aux pensionnaires des Balcons du Soleil.

La preuve!

Après cette assiette pourtant copieusement garnie, ils ont enchaîné avec un boeuf bourguignon sans barguigner et avec une tarte aux abricots pour compléter le menu.

Faut-il dire pour autant merci à la serveuse pourtant baba cool - et renversante - du gîte de Chauffarelle, à ne pas confondre, bien entendu, avec Chauffe Marcel?

C'est quand même elle qui a copieusement remis le couvert....

Comment vouliez-vous retrouver en forme les pensionnaires des balcons du Soleil sur les pistes ou sur les chemins de randonnée?

Comment pouvaient-ils remonter la pente après de telles agapes?

Pas étonnant si le lendemain on les entendait se plaindre de ballonnements ou de lourdeurs à l'heure du petit-déjeûner sur l'air de "Agapes the blues!"

Tout-ski-faut

Pas étonnant que votre blogueur-skieur, après les forfaits en cascade, se soit retrouvé bien seul à la station sur les remonte-pentes comme dans les descentes.. .Il était un peu sur les pistes le dernier des 11 petits nègres...

Heureusement, il n'y avait même pas besoin de selfies sur les remontées. Il suffisait de sourire et on était flashé.

Alors j'ai recommencé avec un autre partenaire qui, vous le remarquerez, s'est rapproché un petit peu.

En tout bien, tout honneur, cela va de soi!

Un bon moyen pour la station d'obtenir les mails des skieurs et de lui envoyer un questionnaire...

Ce n'est pas vraiment nécessaire car Orcières-Merlette ne manque ni de charme ni d'atouts.

Et elle mérite bien qu'on lui mette le feu!

A suivre : Dans la cage du Lyon....

On ne pourra pas dire d'Orcières-Merlette qu'elle n'est pas une station de haut vol, même si elle est parfois ravitaillée par les corbeaux dès le lever du soleil

Qui va oser me dire que le chouca ne vaut pas un cachou?

La preuve!

Il livre à domicile en échange de quelques miettes...

Il rend même jaloux l'homme qui a besoin, comme lui, de prendre son envol, même si ses skis de géant l'empêche de voler.

C'est parti, mon kiki du haut du Drouvet 2.: 2600 mètres d'altitude, 1.900 mètres de tyrolienne, 1 minute24 de bonheur.

Pour cet exploit de haut vol, avant il y a eu çà.

Embarquement immédiat et sensations fortes garanties:

L'homme-oiseau fonce en piquée vers la station où il peut renconter d'autres hommes volants.

A condition de ne pas en avoir un petit coup dans l'aile...

A suivre:

Faute de grives, on mange à Merlette

Après les péripéties 2018 sous le titrage "À votre bon Valloire", il fallait bien poursuivre avec la promotion 2019 installée en effectif réduit du côté de Gap, à Orcieres Merlette.

Quelques photos valent toujours mieux que de longs discours. Alors clic clac merci Kodak avec, d'abord, notre "home sweet home" aux balcons du soleil.

Une vraie vie de chien, à l'instar de ces quelques pensionnaires rencontrés au village ou sur les pistes.

Cela prouve bien que dans les Alpes rien n'Orcières de courir, il faut partir à point.

Avec ou sans ses skis...

L'important, c'est de rentrer à l'heure pour pouvoir buller.

Comme quoi, rien n'Orcières de courir: il suffit d'arriver à point pour l'apéro de 18h45!

A suivre....